Je crois que je suis citadine dans l'âme. Pas citadine d'une immense ville. Une ville de province me va très bien. Et si possible, je préfère habiter au centre. Pas le centre piéton, pas le centre touristique, plutôt le centre où il y a le marché, la poste, les trucs pour les habitants, quoi.
Avec une supérette pour les soirs où ça manque de fromage. Et avec des horloges et des horodateurs pour savoir l'heure. Et aussi une boulangerie avec du pain, comme la mienne et son pain que j'adore... Et une médiathèque.
Et tout pas trop loin, pour pouvoir y aller à pieds, éventuellement à vélo. Surtout, avoir le luxe de pouvoir me passer de voiture.
C'est peut-être un truc de flemmard, d'aimer habiter en centre-ville.Tout ou presque est à portée de pieds. Même la verdure des parcs.
Avec une supérette pour les soirs où ça manque de fromage. Et avec des horloges et des horodateurs pour savoir l'heure. Et aussi une boulangerie avec du pain, comme la mienne et son pain que j'adore... Et une médiathèque.
Et tout pas trop loin, pour pouvoir y aller à pieds, éventuellement à vélo. Surtout, avoir le luxe de pouvoir me passer de voiture.
C'est peut-être un truc de flemmard, d'aimer habiter en centre-ville.Tout ou presque est à portée de pieds. Même la verdure des parcs.
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2 commentaires:
J'ai la chance d'être la citadine dans l'âme que tu décris.
Je ne pense pas qu'il s'agisse de flemme, mais plutôt de qualité de vie.
et j'apprécie cette qualité de vie... qui convient bien à ma fainéantise !
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