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20.11.11

sportive ?

Il n'y a pas si longtemps, quand on me parlait de sport, je disparaissais, parce que je n'en faisais pas.

Ah si, je fais du vélo en ville depuis longtemps. Mais ça, pour moi, ce n'est pas du sport, c'est un moyen de déplacement, et éventuellement un loisir.

Mais depuis, les choses ont changé...

J'ai couru La Parisienne en septembre. Et donc, forcément, je me suis entraînée un minimum. Je suis désormais incollable sur tous les chemins du parc de La Villette, l'endroit que je préfère pour courir.
Et après La Parisienne, je me suis dit que c'était dommage d'arrêter. Et donc j'essaie d'aller courir régulièrement. Une fois par semaine, en général... mais parfois pas du tout, et parfois 2 fois.
J'ai même acheté la puce Nike, celle qui permet à mon Ipod de me dire combien de temps je cours et tout et tout.

Et ce qui m'étonne encore, c'est que je me suis inscrite dans une salle de sport.
Et que j'y vais au moins une fois par semaine.
Sans trop me forcer.

Je n'y crois toujours pas !

8.11.11

peut-être, donc...

Peut-être bien que je pourrais remettre des choses sur ce blog. Mais irrégulièrement, sans doute...

Bon, en tout cas, il est à nouveau public !

3.6.11

et si ?...

Est-il possible que je revienne ici ?...

6.6.10

lieu de passage

J'aime ma ville. J'ai plutôt aimé les différents endroits où j'ai habité.
Pourtant je ne m'y sens que de passage, en transit. Plus longtemps que quand on attend une correspondance de train, mais un peu de la même façon quand même. 
M'enracinerai-je un jour quelque part ?

 Mes logements sont un peu comme ce blog, finalement : des lieux de vie, mais pas des lieux définitifs. Des lieux agréables, mais pas plus attachants que ça.

Oui, c'est dimanche soir, et le dimanche soir, je pense pour moi ! 

9.3.10

liberté

Voir un film me met souvent dans des états étranges. Parce que je n'ai pas de télé, et donc je ne vois pas si souvent des images "qui bougent". Un film à la télé ou en DVD ne m'intéresse pas, je n'arrive pas à y être vraiment. Un film au cinéma, avec le grand écran et la version dans la langue originale, c'est ce que je redécouvre cette année.
En fait, je croyais que je n'aimais pas le cinéma, parce que je n'accrochais pas à la télé... Et là, cette année, j'ai un pass, alors je redécouvre et je savoure. Souvent, après l'école, hop ! je file au ciné.

Tout ça pour dire que j'ai vu Liberté.
Déjà, il y a longtemps, j'avais été scotchée par gadjo dilo, que j'avais vu juste avant de partir en Roumanie. Où j'avais eu l'impression d'être parfois dans le film.
Il ne me faut pas grand-chose pour larguer les amarres et déménager. Après avoir vu Liberté, les envies de bougeotte reprennent. Mon esprit est nomade, flâneur. Et ça, ça ne s'accorde pas vraiment avec la société. J'ai besoin de m'évader, au moins en pensées. Quand les pensées ne suffisent pas, je marche, le nez au vent. Pas forcément loin, mais l'esprit dans un ailleurs.

Il ne me faudrait vraiment pas grand-chose pour partir sur les routes. Après tout, il suffit juste de ne pas posséder trop de choses matérielles (ça tombe bien, je n'arrête pas de vendre ou de donner des trucs !), de démissionner (j'hésite régulièrement). L'argent ? avec moins de besoins, on a besoin de moins d'argent. Bon... je vieillis encore un peu, et je me décide !

1.3.10

et aussi

d'autres photos ici

mon ancien chemin d'école... mon ancienne ville...

Pour l'école, c'est .
Des images de la ville, ici...
:(

22.2.10

2010

Pourquoi, quand je dois écrire 2010, dans ma tête je n'entends pas "deux mille dix" mais "vingt-dix" ? En plus, "vingt-dix", ça ne fait même pas 2010, quand on calcule...

C'est bien la peine de revenir bloguer juste pour dire ça, non ?...

20.1.10

17.1.10

régularité

Quand on prend le train, si on a plus d'une 1/2 de retard, on reçoit une petite enveloppe-réclamation qui s'appelle SNCF régularité, pour essayer de recevoir un peu d'argent sur son voyage retardé.
L'année 2010 débute, j'ai eu cette enveloppe 2 fois. La première fois, tout va bien, je remplis les cases, j'envoie mon billet, et j'attends.
La deuxième fois va faire rire les gens de ce service, je crois. Arrivée à la gare, j'ai mis l'enveloppe avec le billet dans mon sac, dans la poche sur le dessus du sac, précision importante. Et puis je l'ai oublié. Et j'ai pris les averses. J'ai été trempée, ça faisait longtemps que je n'avais pas été trempée comme ça. Bon, c'est pas grave, on sèche.
L'enveloppe aussi a séché. Le rabat pour fermer aussi, le rabat avec la colle qu'il faut lécher, normalement...
Et puis arrive le moment où je m'occupe de cette affaire. Où je vois que tout est collé. Où j'essaie de décoller le truc avec la vapeur d'eau, mais ce n'est pas très réussi...
Bon. Je remplis les cases et j'envoie quand même, on verra bien.


Allez, une photo de l'enveloppe après le décollage. Le billet de train ? à peu près dans le même état. Le bon de retard aussi, d'ailleurs...



Le pire, c'est qu'après avoir tout bien scotché, j'ai rouvert l'enveloppe pour y glisser le bon de retard qui traînait sur la table...

27.12.09

résolutions

j'aime ce truc, ici : http://lucianoz.free.fr/ 


au 1er essai, ça m'a donné
"Accepter à dessein de militer sur internet"... 
ok, j'y pense... et aussi à militer avec ma tête et mes jambes, peut-être !

19.11.09

alternance

je n'ai pas envie de bloguer ici... mais je retourne vers les photos plus ou moins trafiquées ici
ça s'appelle l'alternance des blogs... ou "elle ne sait pas ce qu'elle veut, Sylvette"...

7.11.09

4.11.09

pub


Vous habitez près de Lyon ? Alors vous pourrez dire bonjour à Jack, à ce salon du livre ! 

3.11.09

signe ?


Des centaines de places dans le train, mais c'est moi qui avait celle-ci ! Dans la série, un rien m'amuse...

était-ce un signe ? Je n'en sais rien, mais en tout cas, c'était plus facile pour retenir le numéro de la place !

11.10.09

peur ?

Je crois que je fais peur aux gens, parfois. Sans faire exprès. Juste en les regardant. Pas les enfants, seulement  certains adultes.

Mais ils devraient se rassurer : eux aussi me font peur, parfois !

7.10.09

comment ?

Comment font certaines personnes pour avoir des certitudes que j'imagine impossibles ?

Comme "moi, je n'aime pas l'art contemporain." Ou "Je déteste les légumes". 

Comment peut-on avoir une certitude en faisant des généralités, en englobant pleins de trucs différents ?

23.9.09

sur le mur

sur un mur d'une rue en pente, forcément


22.9.09

un peu

des trucs un peu contrariants pendant une journée, mais qui n'empêchent pas de vivre...

- la radio qui annonce une pollution de 7/10, j'aime pas

- plus de place pour garer mon vélo en arrivant au boulot

- l'élève récalcitrant plus récalcitrant que d'habitude

- l'élève que j'ai oublié de mettre à la garderie, et que j'appelle ses parents, et que je revérifie "si si, il était bien inscrit", mais que c'est trop tard, les parents sont venus le chercher... Toutes les excuses de la maîtresse...

- mon linge à la laverie, c'est bien... je remonte chez moi pendant le lavage... mais j'ai oublié de vérifier le programme... hop hop hop j'y retourne avec mon ipod, son livre sonore et son casque... mais ce n'est pas un casque, c'est le kit piéton du "portable qui ne sert pas"... je remonte chez moi... encore... et je redescends récupérer le linge, quand même...

Mouais... c'est pas grave, c'est juste contrariant !

16.9.09

étrangeté

C'est assez étrange, cette perception de l'endroit où on habite. Pour moi, je pourrais je crois habiter n'importe où et me sentir chez moi. Le décor change, mais pas la personne. Enfin, si, la personne change, mais pas d'un seul coup, et pas parce que le lieu a changé. Je change doucement, en vieillissant.

Bref, là, je me sens bien, chez moi. Si je me rends dans un autre quartier, j'ai l'impression de changer de pays, en quelque sorte.

Dans mon quartier, ça y est, je ne réfléchis plus pour savoir quelle sortie de métro choisir, quelle rue prendre pour faire des coursinettes, où est la bibliothèque. Je ne pense plus à l'endroit où je suis quand je pousse la porte (trèèèès lourde) de l'immeuble. Je ne sors plus mon plan pour me balader dans le coin, et je sais quel jour a lieu tel marché. Je sais où prendre le bus... et où descendre ! Je ne me demande plus combien de temps je mets pour aller bosser en vélo.

Je reste étonnée quand le petit train des touristes monte par ma rue, ou quand le tourneur de l'orgue de barbarie fait une pause en musique au coin de la rue avant d'attaquer la butte. J'ouvre toujours mes yeux et mes oreilles, mais comme je le faisais partout ailleurs, déjà. 

Tout se fait très vite, insensiblement. Les lieux m'imprègnent, sont déjà devenus familiers. Je ne regrette pas ce changement.

Je crois que je n'aurais rien regretté en obtenant une mutation ailleurs, non plus. C'est un peu comme si j'avais une roulotte qui se pose plus ou moins longtemps quelque part, mais toujours avec moi.

"On croit toujours que la vie est différente ailleurs. Tout le monde le croit. "

le bar du vieux français 1, Stassen et Lapière