J'ai même acheté la puce Nike, celle qui permet à mon Ipod de me dire combien de temps je cours et tout et tout.
20.11.11
sportive ?
J'ai même acheté la puce Nike, celle qui permet à mon Ipod de me dire combien de temps je cours et tout et tout.
étiquette du tiroir tout et rien
8.11.11
peut-être, donc...
Peut-être bien que je pourrais remettre des choses sur ce blog. Mais irrégulièrement, sans doute...
Bon, en tout cas, il est à nouveau public !
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3.6.11
6.6.10
lieu de passage
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9.3.10
liberté
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1.3.10
22.2.10
2010
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20.1.10
ça ne peut qu'aller mieux
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17.1.10
régularité
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27.12.09
résolutions
j'aime ce truc, ici : http://lucianoz.free.fr/
au 1er essai, ça m'a donné
"Accepter à dessein de militer sur internet"...
ok, j'y pense... et aussi à militer avec ma tête et mes jambes, peut-être !
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19.11.09
alternance
je n'ai pas envie de bloguer ici... mais je retourne vers les photos plus ou moins trafiquées ici.
ça s'appelle l'alternance des blogs... ou "elle ne sait pas ce qu'elle veut, Sylvette"...
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7.11.09
4.11.09
pub
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3.11.09
signe ?
Des centaines de places dans le train, mais c'est moi qui avait celle-ci ! Dans la série, un rien m'amuse...
était-ce un signe ? Je n'en sais rien, mais en tout cas, c'était plus facile pour retenir le numéro de la place !
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11.10.09
peur ?
Je crois que je fais peur aux gens, parfois. Sans faire exprès. Juste en les regardant. Pas les enfants, seulement certains adultes.
Mais ils devraient se rassurer : eux aussi me font peur, parfois !
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7.10.09
comment ?
Comment font certaines personnes pour avoir des certitudes que j'imagine impossibles ?
Comme "moi, je n'aime pas l'art contemporain." Ou "Je déteste les légumes".
Comment peut-on avoir une certitude en faisant des généralités, en englobant pleins de trucs différents ?
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23.9.09
22.9.09
un peu
des trucs un peu contrariants pendant une journée, mais qui n'empêchent pas de vivre...
- la radio qui annonce une pollution de 7/10, j'aime pas
- plus de place pour garer mon vélo en arrivant au boulot
- l'élève récalcitrant plus récalcitrant que d'habitude
- l'élève que j'ai oublié de mettre à la garderie, et que j'appelle ses parents, et que je revérifie "si si, il était bien inscrit", mais que c'est trop tard, les parents sont venus le chercher... Toutes les excuses de la maîtresse...
- mon linge à la laverie, c'est bien... je remonte chez moi pendant le lavage... mais j'ai oublié de vérifier le programme... hop hop hop j'y retourne avec mon ipod, son livre sonore et son casque... mais ce n'est pas un casque, c'est le kit piéton du "portable qui ne sert pas"... je remonte chez moi... encore... et je redescends récupérer le linge, quand même...
Mouais... c'est pas grave, c'est juste contrariant !
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16.9.09
étrangeté
C'est assez étrange, cette perception de l'endroit où on habite. Pour moi, je pourrais je crois habiter n'importe où et me sentir chez moi. Le décor change, mais pas la personne. Enfin, si, la personne change, mais pas d'un seul coup, et pas parce que le lieu a changé. Je change doucement, en vieillissant.
Bref, là, je me sens bien, chez moi. Si je me rends dans un autre quartier, j'ai l'impression de changer de pays, en quelque sorte.
Dans mon quartier, ça y est, je ne réfléchis plus pour savoir quelle sortie de métro choisir, quelle rue prendre pour faire des coursinettes, où est la bibliothèque. Je ne pense plus à l'endroit où je suis quand je pousse la porte (trèèèès lourde) de l'immeuble. Je ne sors plus mon plan pour me balader dans le coin, et je sais quel jour a lieu tel marché. Je sais où prendre le bus... et où descendre ! Je ne me demande plus combien de temps je mets pour aller bosser en vélo.
Je reste étonnée quand le petit train des touristes monte par ma rue, ou quand le tourneur de l'orgue de barbarie fait une pause en musique au coin de la rue avant d'attaquer la butte. J'ouvre toujours mes yeux et mes oreilles, mais comme je le faisais partout ailleurs, déjà.
Tout se fait très vite, insensiblement. Les lieux m'imprègnent, sont déjà devenus familiers. Je ne regrette pas ce changement.
Je crois que je n'aurais rien regretté en obtenant une mutation ailleurs, non plus. C'est un peu comme si j'avais une roulotte qui se pose plus ou moins longtemps quelque part, mais toujours avec moi.
"On croit toujours que la vie est différente ailleurs. Tout le monde le croit. "
le bar du vieux français 1, Stassen et Lapière
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