7.2.12
sens en éveil
étiquette du tiroir pensées sur un thème
20.11.11
sportive ?
J'ai même acheté la puce Nike, celle qui permet à mon Ipod de me dire combien de temps je cours et tout et tout.
étiquette du tiroir tout et rien
8.11.11
peut-être, donc...
Peut-être bien que je pourrais remettre des choses sur ce blog. Mais irrégulièrement, sans doute...
Bon, en tout cas, il est à nouveau public !
étiquette du tiroir tout et rien
3.6.11
6.6.10
lieu de passage
étiquette du tiroir tout et rien
12.4.10
en rang
étiquette du tiroir boulot
28.3.10
le beurre et l'argent du beurre
étiquette du tiroir boulot
9.3.10
liberté
étiquette du tiroir tout et rien
8.3.10
éclat
étiquette du tiroir atmosphère ou dehors
2.3.10
1.3.10
22.2.10
2010
étiquette du tiroir tout et rien
24.1.10
20.1.10
ça ne peut qu'aller mieux
étiquette du tiroir tout et rien
17.1.10
régularité
étiquette du tiroir tout et rien
15.1.10
portes ouvertes
Au début, j'essaie de retrouver leur classe d'accueil. Mais comme ils sont un peu paumés du cerveau, on n'arrive pas à savoir. Au bout d'un moment, j'abandonne, je les garde, j'aime les classes avec pleins pleins d'élèves...
Mais quand même, comment ça se fait que certains enseignants ne se rendent pas compte qu'ils n'ont plus tous les élèves qu'ils devaient accueillir pendant l'absence d'un collègue ?...
Bon, les jours sans remplaçant... je vais fermer ma porte, maintenant !
étiquette du tiroir boulot
8.1.10
choses d'hiver
étiquette du tiroir atmosphère ou dehors
27.12.09
résolutions
j'aime ce truc, ici : http://lucianoz.free.fr/
au 1er essai, ça m'a donné
"Accepter à dessein de militer sur internet"...
ok, j'y pense... et aussi à militer avec ma tête et mes jambes, peut-être !
étiquette du tiroir tout et rien
17.12.09
19.11.09
alternance
je n'ai pas envie de bloguer ici... mais je retourne vers les photos plus ou moins trafiquées ici.
ça s'appelle l'alternance des blogs... ou "elle ne sait pas ce qu'elle veut, Sylvette"...
étiquette du tiroir tout et rien
7.11.09
6.11.09
4.11.09
2-3 trucs
Et encore.... parfois, tout va très bien, et ça ne m'empêche pas d'écrire, de marcher, ou d'écouter de la musique !
étiquette du tiroir pensées sur un thème
pub
étiquette du tiroir tout et rien
3.11.09
signe ?
Des centaines de places dans le train, mais c'est moi qui avait celle-ci ! Dans la série, un rien m'amuse...
était-ce un signe ? Je n'en sais rien, mais en tout cas, c'était plus facile pour retenir le numéro de la place !
étiquette du tiroir tout et rien
2.11.09
pour oublier...
étiquette du tiroir alimentaire
30.10.09
lpb
Avant, ça s'appelait les petites bourrettes. Puis lpb club. Puis il semble que ce soit à nouveau les petites bourrettes. Bref, j'y comprends rien, à ce changement de nom, sauf que lpb club c'est moins long à écrire,mais c'est bien toujours à peu près les mêmes.
Et les voir en concert, c'est vraiment bien.
Je n'ai que 2 vieilles photos, l'une doit dater de 2006 ou 2007, l'autre de l'été 2009, tiens, c'est pas si vieux finalement, celle-là !
la photo d'il y a un bout de temps :
la photo plus récente :
et pas de photo du concert de la maroquinerie !
étiquette du tiroir arts
27.10.09
terminus
Parfois, je prends le bus et je crois que je vais arriver à l'arrêt choisi. En général, le chauffeur m'emmène bien là où il faut.
Sauf de temps en temps.
exemple 1 : je monte dans le bon bus, le terminus indiqué est le bon, pas de souci. Et puis soudain, le chauffeur crie : "terminus" alors qu'on n'est pas au bout de la ligne ! Tout le monde descend, donc. De toute façon, le bus fait tellement de bruit qu'on se doute bien qu'il y a un truc qui ne va pas. Cette fois-ci, ça allait, on avait fait la grande monté alors j'ai fini tranquillement à pieds.
exemple 2 : pas de numéro lumineux affiché sur le bus (dommage, celui-là, je l'aime bien, c'est un numéro tout rose !), juste une affichette avec le numéro. Le terminus n'est pas indiqué, mais ce n'est pas grave, c'est quand même le bon bus et je suis dans la bonne direction. Et puis, en cours de route, la voix enregistrée annonce un terminus qui n'est pas celui du bout de la ligne. Mais c'est un terminus qui me va bien, juste à côté de vélib' pour finir la route. Et puis, finalement, le chauffeur arrête le bus à un autre terminus que celui annoncé, encore plus tôt que prévu. Tout le monde descend. Les quelques touristes n'y comprennent rien. Bon, en fait, le chauffeur ne sait pas pourquoi on lui a dit de s'arrêter, lui, il respecte les ordres ! Donc il suffit d'attendre un autre bus, avec le même numéro, pour continuer. Mais moi je vois un bus avec un autre numéro qui passe, je le prends, ça tombe bien, il passe près de chez moi mais pas tout à fait à côté. Alors je finis en vélib'. Enfin, d'abord je marche un peu, parce que les deux premières stations de vélib' sont vides.
moralité : quand t'habites à Paris et que tu préfères le bus au métro, vaut mieux avoir le temps, tes pieds, et un abonnement vélo...
moralité 2 : quand dans la vie ça ne se passe pas comme prévu, on peut toujours faire autrement...
étiquette du tiroir paris
26.10.09
mémoire
L'autre jour, à la supérette, ma mémoire s'est évanouie. Comme ça, sans prévenir.
Je suis à la caisse, en train de penser que je vais payer par carte. Je réfléchis, par réflexe, au code. Et là, c'est le blanc. Ou le noir. Ou le néant. Plus rien ne me revient comme code "sûr". Mon ancien code, de l'ancienne banque, est là alors que je devrais l'avoir déjà oublié. Et le nouveau, ben... j'hésite entre 2-3 codes, en fait. Et impossible de me rappeler lequel est le bon, d'ailleurs je crois bien qu'aucun des codes qui tournent dans ma tête n'est le bon !
Pas de panique. Je ne dis rien, je paie avec un chèque, c'est plus sûr...
Et puis je rentre, en passant pas la banque retirer de l'argent, quand même. Je me dis que si je me trompe 3 fois de code, à la banque, je pourrai leur expliquer tout de suite.
Devant le distributeur de billets, je me dis que la mémoire, c'est surprenant. Je n'arrive pas à me rappeler les chiffres du code, mais mes doigts le composent automatiquement, par mémorisation tactile de l'emplacement des touches. Ouf...
J'ai toujours trouvé que ma mémoire fonctionnait bizarrement. Je retiens des trucs inutiles. Je retiens qu'un truc est écrit à tel endroit de la page d'un livre (en haut à gauche, par exemple). Je n'utilise pas d'agenda (non, toujours pas !). Je retiens des rythmes et des mélodies sans trop de problèmes. Mais difficilement les paroles des chansons. Et peu souvent les visages des gens.
Parfois je voudrais contrôler ma mémoire, ranger des trucs dans un coin du cerveau, loin. Faire de la place pour les mémoires qui me font défaut.
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22.10.09
les 2 faces
face nord
des cafés de quartier,des femmes qui poussent les poussettes (qui portent bien leur nom) dans les montées, des poubelles sur les trottoirs, des boulangers, des épiciers, des escaliers où les gens ne s'arrêtent pas, le parc, des bus...
face sud
des cafés plus chers, des appareils photos partout, des escaliers encombrés, des vendeurs de tours eiffel-petit chien qui jappe-lettres en bois-etc, des musiciens plus ou moins bons selon les jours, des danseurs de hip-hop, des soeurs, un manège, des magasins de tissus...
J'aime faire mon trajet d'école à pieds. Pour mes muscles, pour les vues, pour les ambiances, pour penser tranquille.
étiquette du tiroir atmosphère ou dehors
20.10.09
gaffes
Un jour, dans ma classe, ou plutôt devant la porte de ma classe... L'élève fait l'andouille devant la porte qui est presque toujours ouverte. Quand on fait du bruit, je ferme la porte. Ce jour-là, donc, je vais fermer la porte. Un peu violemment. Sans voir l'élève devant la porte.
L'élève a une bosse au front.
Un autre jour, dans une autre classe. L'élève a ses lacets ouverts (ou défaits...). Je marche sur ses lacets, il s'étale.
Il a une bosse au front.
Sans parler de toutes les fois où je les cogne en faisant des mouvements avec mes bras et qu'ils me collent...
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18.10.09
variations musicales
étiquette du tiroir arts
17.10.09
13.10.09
dans le tiroir
Tu sais comment on sait qu'il fait plus froid ?
C'est quand le chocolat qu'on croque après l'avoir sorti du tiroir est moins tendre que d'habitude.
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11.10.09
peur ?
Je crois que je fais peur aux gens, parfois. Sans faire exprès. Juste en les regardant. Pas les enfants, seulement certains adultes.
Mais ils devraient se rassurer : eux aussi me font peur, parfois !
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9.10.09
7.10.09
comment ?
Comment font certaines personnes pour avoir des certitudes que j'imagine impossibles ?
Comme "moi, je n'aime pas l'art contemporain." Ou "Je déteste les légumes".
Comment peut-on avoir une certitude en faisant des généralités, en englobant pleins de trucs différents ?
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5.10.09
30.9.09
posée sur la place
Ici, j'ai parfois l'impression de ne rien voir, que rien ne se passe.
Mais quand je me pose sur une place, c'est comme un aquarium. D'abord, rien ne bouge. Je suis immobile derrière mes yeux. Et petit à petit, tout le monde bouge autour de moi.
Alors je vois.
3 vélibeurs attendent à la station que des places se libèrent, pour garer leurs vélos
1 touriste-photographe se couche sur le sol pour photographier son ami et le bâtiment en arrière-plan
1 violoniste déballe son violon, s'accorde et joue, joue vraiment bien
des pigeons, je ne les aime pas, par centaines, me rasent les cheveux dans leur vol pour rejoindre un endroit plein de miettes généreusement distribuées
1 buveur de canette de bière, allongé, se retourne par moment sous le soleil, puis se lève et s'en va
des groupes d'enfants, sagement rangés, traversent la place
3 pompiers traversent eux aussi la place, dans l'autre sens
Et puis je quitte l'aquarium, parce que le temps n'est pas extensible...
étiquette du tiroir paris
28.9.09
s'y faire
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27.9.09
c'est le moment...
et de commencer la semaine...
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24.9.09
dans ma rue
J'apprécie moyennement les blogs qui ne montrent que des trucs "imposés", genre les chaînes de trucs, ou "tous les dimanches, je montre ça..." Mais pour le SPJ, je participe, parce que prendre des photos avec un thème imposé de temps en temps, ça me plaît !
étiquette du tiroir spj
23.9.09
22.9.09
un peu
des trucs un peu contrariants pendant une journée, mais qui n'empêchent pas de vivre...
- la radio qui annonce une pollution de 7/10, j'aime pas
- plus de place pour garer mon vélo en arrivant au boulot
- l'élève récalcitrant plus récalcitrant que d'habitude
- l'élève que j'ai oublié de mettre à la garderie, et que j'appelle ses parents, et que je revérifie "si si, il était bien inscrit", mais que c'est trop tard, les parents sont venus le chercher... Toutes les excuses de la maîtresse...
- mon linge à la laverie, c'est bien... je remonte chez moi pendant le lavage... mais j'ai oublié de vérifier le programme... hop hop hop j'y retourne avec mon ipod, son livre sonore et son casque... mais ce n'est pas un casque, c'est le kit piéton du "portable qui ne sert pas"... je remonte chez moi... encore... et je redescends récupérer le linge, quand même...
Mouais... c'est pas grave, c'est juste contrariant !
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21.9.09
pensées de vélo
mollets
trottoirs encombrés
sonnette presque cassée
pistes enverrées
montées
lampe du matin à allumer
liberté
pas casquée...
sans gilet...
pas encore tombée !
pas prête d'arrêter
sauf si obligée
étiquette du tiroir vélo
20.9.09
16.9.09
étrangeté
C'est assez étrange, cette perception de l'endroit où on habite. Pour moi, je pourrais je crois habiter n'importe où et me sentir chez moi. Le décor change, mais pas la personne. Enfin, si, la personne change, mais pas d'un seul coup, et pas parce que le lieu a changé. Je change doucement, en vieillissant.
Bref, là, je me sens bien, chez moi. Si je me rends dans un autre quartier, j'ai l'impression de changer de pays, en quelque sorte.
Dans mon quartier, ça y est, je ne réfléchis plus pour savoir quelle sortie de métro choisir, quelle rue prendre pour faire des coursinettes, où est la bibliothèque. Je ne pense plus à l'endroit où je suis quand je pousse la porte (trèèèès lourde) de l'immeuble. Je ne sors plus mon plan pour me balader dans le coin, et je sais quel jour a lieu tel marché. Je sais où prendre le bus... et où descendre ! Je ne me demande plus combien de temps je mets pour aller bosser en vélo.
Je reste étonnée quand le petit train des touristes monte par ma rue, ou quand le tourneur de l'orgue de barbarie fait une pause en musique au coin de la rue avant d'attaquer la butte. J'ouvre toujours mes yeux et mes oreilles, mais comme je le faisais partout ailleurs, déjà.
Tout se fait très vite, insensiblement. Les lieux m'imprègnent, sont déjà devenus familiers. Je ne regrette pas ce changement.
Je crois que je n'aurais rien regretté en obtenant une mutation ailleurs, non plus. C'est un peu comme si j'avais une roulotte qui se pose plus ou moins longtemps quelque part, mais toujours avec moi.
"On croit toujours que la vie est différente ailleurs. Tout le monde le croit. "
le bar du vieux français 1, Stassen et Lapière
étiquette du tiroir tout et rien